Convoi exceptionnel jusqu’à Rosny où habitent nos potes.
Nous les chiens ne devions pas venir puis finalement nous avons été tolérés. Et nous nous sommes tenus comme des chefs ! Relégués dans l’entrée, nous avons bien tenté à 3 ou 4 reprises de franchir la porte du salon pour nous rapprocher de nos humains. Mais beaucoup de calme et de patience.
Le chat de la maison est venu nous narguer un


De retour à la maison auprès de Régis qui avait préféré rester au calme se reposer, Geneviève n’a pas demandé son reste. Elle est vite allée se coucher.
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