samedi 28 mars 2009

Vendredi 27 mars. Dernier jour et retour à Paris!

Vendredi matin, Geneviève a sauté du lit sitôt que le réveil a sonné.
Derniers rangements, puis elle a commencé à descendre les affaires à la voiture.

Ah! Chouette! On bouge.

Mais nous n'avons pas dérogé à nos habitudes matinales: Petites promenade, petit déjeuner....

Le moment de l'au revoir avec Patrick et Christianne. Ne vous inquiétez pas, on va revenir très vite!! ... dès la semaine prochaine.
Eh oui, 2ème période de formation à partir du 6 avril!

Bon! ben voilà.
En voiture.

Mais on est où là? Oh non! Encore une journée à t'attendre?
Allez!


Le matin, c'était le petit patient du mardi qui revenait.
Aurélie avait du travail. Et je crois qu'elle voulait un peu tester son petit monde.
Alors elle a confié la séance à Aline et aux stagiaires.
Évidemment, Geneviève a pris de la place, comme d'habitude. Et finalement elle a fait la séance avec Aline.
Aurélie pointait son nez de temps en temps pour donner un coup de pouce et veiller sur tout le monde.

Nourrissage des lapins, ânes et chèvres. Là, il y a eu un hic. le petit bonhomme a découvert que Zig, le bouc a disparu.
Il a fallu parler de la mort, de la disparition. Ce sont des sujets difficiles. Aline et les autres stagiaires n'étaient pas trop à l'aise. Geneviève n'osait pas trop prendre d'initiatives. Finalement, Aurélie est intervenue et avec Geneviève, elle a accompagné le petit garçon et pris le temps de parler avec lui.

Une fois l'épisode clôturé, il a fallu nettoyer la cabane des lapins. Là , ça a failli tourner à la catastrophe: Bibulle a reçu le couvercle de la cabane, malencontreusement lâché par le patient, sur la tête. Par chance elle a évité le coup du lapin! Elle a probablement vu arriver le danger et s'est déplacée assez vite!
Quelquefois, il ne fait pas bon être animal de zoothérapie: c'est une vie dangereuse!

Puis nettoyage et soins des pieds de Mousse, le poney, qui a la sole un peu pourrie.

Dernière vérification de la santé de Bibulle et voilà la séance achevée.
Geneviève était très contente car elle a bien géré les situations. la séance s'est bien passée.

Une balade tous les deux à la pause déjeuner.

L'après-midi, un autre patient, que Geneviève ne connaissait pas est venu.
Ils ont emmené les chiens pour du travail à l'extérieur. Geneviève a fait travailler Dylwenn, qui a du mal à marcher au pied, et observait Aurélie qui faisait travailler le patient avec Bingo.

Au retour, le jeune garçon m'a vu... et a voulu me voir de plus près.
Alors, je suis venu les rejoindre pour une séance de brossage, mêlée à un travail sur les couleurs, et bien d'autres choses...
A la fin de la séance, Geneviève a traîné un peu, le temps de travailler le compte-rendu de la séance avec Aurélie.





Et nous voilà partis pour Paris!

5 heures d'autoroute.
2 pauses sur les aires d'autoroutes, du côté de Villefranche sur Saone et du côté d'Avallon....






Arrivés à 22h à la maison où Régis , sa mère et Sylvain nous attendaient.


ça fait du bien de rentrer chez soi!

jeudi 26 mars 2009

Jeudi 26 mars.



Hier c'était l'hiver.

Ce matin il y avait du printemps dans l'air.












Ce matin, au moment de partir, j'ai vu la porte des chèvres ouvertes. Et j'ai vu un chevreau au fond de la chèvrerie.

Chouette! un copain!
J'ai foncé pour aller le voir.

Mais j'ai été stoppé net par la chèvre plutôt malaimable et pas du tout d'accord pour que j'entre sans demander l'autorisation.

Vous voyez les cornes? Elles bougent encore, là à droite juste à côté de l'entrée! Eh bien moi aussi je les ai vues!
Et de près!

Heureusement, elle était attachée.
J'ai évité le pire!




Nous sommes partis à l'IFZ. François n'est pas là, il est parti au Canada pour la
fin de la semaine.
Aurélie était triste ce matin. Un des boucs de l'institut est mort ce matin. Il était malade depuis une semaine. Elle a passé une longue nuit à s'occuper de lui.
Quelquefois, c'est difficile de travailler avec les animaux.

Pour autant la journée a démarré.
Travail d'écriture, ce matin. Il fallait que les stagiaires préparent un courrier pour justifier et demander la prise en charge des séances de zoothérapie de la patiente d'hier.

Travail un peu technique et compliqué pour les filles. Il faut dire que ces écrits professionnels ne s'improvisent pas. Il faut connaître la présentation, dominer le contenu.

Mais Aurélie les a assurées que ça va rentrer!

A midi, Geneviève m'a un peu négligé. mais j'ai compris peu après pourquoi:
Sortie de tous les chiens en début d'après-midi.


Balade dans les bois.

Du coup, on s'est bien rattrapé!




































Après ça, j'ai réintégré la voiture. Les autres chiens ont réintégré leur chenil ...

Et les humains sont allés s'occuper de Mousse, le poney.

Séance de pansage,










puis un peu de travail dans le rond de longe.


avec du saut d'obstacle.









Puis retour au calme. Aline leur a montré les grilles d'évaluation qui sont utilisées pour certains patients.


Ensuite, Geneviève et Aline sont allés panser les ânes avant de nourrir ânes et chèvres.




























La journée s'est achevée et chacun est rentré chez soi.

Ce soir, il faut faire les valises. Demain, à la fin de la journée, on rentre à Paris!

mercredi 25 mars 2009

mercredi 25 mars

Le soleil est de retour aujourd'hui et on est bien content.
Du coup, la promenade du matin a été longue. On en a profité à fond et on a admiré le lever de soleil sur la campagne.
Petit déjeuner en famille, puis en avant pour la journée de travail.

Le matin, Aurélie a mis à la disposition des stagiaires, des catalogues de matériel éducatif et des livres de psychiatrie.
Puis elle a demandé aux 3 stagiaires d'imaginer et d'organiser la séance de l'après midi avec la même patiente que lundi.
Ce qui fut fait.


A midi, une balade tout autour du village.

Puis notre petite patiente est arrivée.

Elle a commencé par travailler avec Bingo.
Exercice de rapport d'objet, pour travailler sa coordination motrice et sa mémoire. (se souvenir des ordres dans le bon sens: assis, va chercher, rapporte)










Aurélie a pris la relève car à un moment, ça partait un peu dans tous les sens.














Je surveillais ça de la voiture, mais je ne l'ai pas trop envié.








Puis les humains sont rentrés dans la maison avec Bibulle le lapin. Ils ont fait un travail de collage et de découpage pour faire travailler à la petite fille le positionnement dans l'espace:


Bibulle le lapin est dans la boîte... sur la boite... à droite ou à gauche.
Aurélie positionnait le lapin, en le rassurant.










Décidément, les humains ont de drôles d'idées.













Bibulle se baladait sur la table. C'était folklo.










Une peu plus tard, tout le monde est ressorti. Elles ont raccompagné Bibulle dans sa cage.










Un petit tour chez les équidés (Ramsès et Noisette, les ânes et Mousse, le poney pottok) pour leur donner un quignon de pain.














Puis elles sont venues me voir et m'ont proposé une promenade autour du village en double laisse.
C'était sympa, mais j'avais un peu du mal à rester bien sagement au pied. j'avais toujours envie de marcher quelques pas devant.
Puis l'après-midi s'est terminé.
Chacun est rentré chez soi. Geneviève qui n'avait pas envie de repartir balader autour du gîte arrêté la voiture pour une pause détente et pipi.

Dans 2 jours, on rentre à la maison!

A propos du lapin

Geneviève s'est posée une question à propos de son lapin. La maman est albinos. Il y a un ancêtre coloré. Mais les petits sont blancs. Si leurs yeux sont rouges, cela présente-t-il un risque pour des patients psychotiques de créer de l'anxiété? Elle a posé la question à François et à Aurélie. La réponse de François est: ça peut passer mais il faut bien expliquer aux patients le pourquoi et le comment. Pour Aurélie, la réponse est oui. Du coup, Geneviève est un peu partagée. Alors Patrick a proposé d'attendre un peu: les petits sont trop petits pour qu'on aille les tripoter. Donc dans 1 semaines,quand ils seront prêts à être sevrés, on fera l'inventaire. Si ils ont tous les yeux rouges, on renoncera peut-être à récupérer le 2ème médiateur de Geneviève dans cette maison. S'il y en a un avec des yeux normaux, on le prend sans hésitation. Mais c'est mal parti, à vue de nez! Bref! Rien n'est encore fait. Régis! Peut-être qu'on va échapper à la ménagerie, pour cette fois!
En même temps vous les trouvez pas craquants?



















Moi j'aime bien les lapins. j'essaie de leur faire un bisou à travers la cage et d'un coup ils prennent peur et partent en courant à travers la cage.




Mais ceux là ce sont des jeunes lapins qui deviendront énormes!

Pas pour nous!

Mardi 24 mars.




Mardi matin réveil sous la pluie, qui s'est rapidement transformée en neige. Nous n'avions pas trop envie, ni l'un, ni l'autre, de traîner dehors. La balade matinale a donc été un peu bâclée. En formation, la matinée s'est déroulée avec François car Aurélie avait une réunion en extérieur, pour un patient.



Eh bien, c'est à moi que l'on s'est intéressé ce matin. François a deman à voir ce que je sais faire. Puis a essayé de me faire travailler.















Je m'en suis bien tiré, mais quand lui et les 2 autres stagiaires ont commencé à m'appeler chacun son tour, je me suis dit que les humains sont décidément devenus fous.

J'ai cherché une réponse du côté de Geneviève, mais elle ne m'a pas été d'un grand secours.

Décidément, ils ont décidé de me faire tourner en bourrique!

Puis François a voulu voir comment se passe le rapport d'objet...
Geneviève est allée chercher mon pouic dans la voiture, celui qu'elle ne me laisse pas pour ne pas que je l'abîme, mais que je préfère.
J'ai commencé par me le lancer tout seul et le rattraper en faisant des bonds de joie dans tous les sens. Puis Geneviève m'a demandé 2 ou 3 rapports.
François s'est installé dans une chaise pour me demander de rapporter. Mais là encore, ils ont décidé de me rendre fou.















Au bout de quelques lancers, j'ai décidé de les laisser jouer tout seuls. Vous voulez le lancer? eh bien allez le chercher vous même! Non mais!




Dans l'ensemble, François trouve que je me débrouille pas mal pour un début, si l'on considère que je ne connais pas les lieux, les personnes, les odeurs, les bruits de tronçonneuse qui m'ont du reste beaucoup perturbé...
C'est sûr que si on me compare avec Bingo, son chien, ce n'est pas pareil. Mais moi, je suis quand même le vrai chien de ma maîtresse.
Je suis champion toutes catégories pour les câlins, mais pas pour les exercices "stupides".

Et puis essayez de me comparer avec un chien du style de Vérone. A tous les coups elle gagnera au rapport d'objet. Elle peut passer sa journée sur une balle de tennis ou un bout de bois.
Mais franchement, il n'y a pas des trucs plus importants que ça dans la vie?

Après ces exercices, les humains sont rentrés regarder un film sur les dauphins, pendant que j'allais finir de régler son compte à mon oreille de porc, dans la voiture.
La journée a été ponctuée de giboulée (en 3 minutes, tout était blanc) et d'éclaircies (en 5 minutes, tout était fondu).
Mais le froid, de façon générale était au rendez-vous avec un vent glacé!

Après le déjeuner, Geneviève m'a emmené faire un tour.

Puis le patient de l'après-midi est arrivé. C'est un petit garçon de 8 ans. Avec Aurélie et les stagiaires, il s'est occupé de soigner et nourrir les lapins et les cochons d'inde.
Puis ils sont rentrés faire un travail d'écriture dans la maison. Cet après-midi ne m'a pas concerné.

Après le boulot, Geneviève a voulu passer acheter une clé wifi et faire le plein de gasoil.
Puis retour à la maison après une brève promenade.
Mais la clé wi-fi lui fait des misères: elle se prend pour un anti-virus!
"Dis moi Geneviève c'est vrai que tu participes à l'animation d'un club d'informatique? Tu t'y connais un peu ou bien tu es juste là pour faire de la présence? Parce que franchement depuis le début de la semaine, tu ne fais pas la fière avec ton ordinateur! Même Patrick te chambre tous les jours en te demandant si tu l'as acheté à la Foirfouille!"

Du coup Geneviève a encore passé sa soirée à jongler avec le réseau pour essayer de mettre le blog à jour! Quelle galère!


mardi 24 mars 2009

Lundi 23 mars: 1ère journée de stage pratique.

Lundi matin, Geneviève n'était pas trop motivée pour retourner en formation. Mais, allez! Courage! Debout à 6h15, nos petites habitudes du matin: promenade, petit déjeuner en famille, et c'est parti pour un nouveau jour. La nouveauté du jour. Le brouillard. Qui s'est levé un peu plus tard. Pour Geneviève et les 2 stagiaires qui partagent cette semaine avec elle, ce fut une matinée de lecture. Étude des comptes-rendus du suivi d'un petit garçon suivi à l'IFZ. Et analyse pour comprendre son évolution. Pour moi, matinée non-stop dans la voiture: Geneviève en a même oublié notre pause. La semaine commence bien! Alors à midi, une balade jusqu'au bois, autour du village.













ça nous a fait revenir par l'autre côté des bâtiments. Une nouvelle perspective de l'IFZ. Un passage devant les 4 chèvres de l'institut....






L'après-midi, Aurélie, la psychologue, accueillait une petite jeune fille. Les stagiaires ont suivi la séance. Mais cette petite m'a aperçu dans la voiture, et devinez? Elle a craqué pour moi!

Alors j'ai été invité à participer aussi à la séance.

Attention! Grande première pour moi!
On a fait un slalom autour de plots, tenu en laisse par Aurélie et guidé par la jeune fille. Puis on m'a demandé de jouer le gentil chien rapporteur d'objet.
Bon! ça je veux bien un peu, mais au bout d'un moment, ça me lasse!
Mais je me suis prêté de bonne grâce à leurs exigences! Sauf qu'à la fin, je n'avais plus trop envie de le rendre. A quoi ça sert que je te le rapporte, si à chaque fois, tu le relances? Les humains ont quelques fois de drôles d'idées!

Petit détail qui a son importance.
Avec Geneviève, on fonctionne bien. On se comprend même si elle manque un peu de précision. Mais l'ordre c'est quoi? Donne ou rapporte? Viens ici ou au pied? Reste? ou pas bouger? Ben pour Geneviève c'est un peu tout ça. Mais quand c'est un patient qui me fait travailler, ça manque un peu de rigueur! Surtout lorsque le patient en question a des difficultés d'élocution, du mal à poser son autorité et est peu expérimenté avec les chiens! .

Allons, Geneviève, depuis le temps qu'Aurélie, notre éducatrice de Villecresnes, te répète de choisir ton vocabulaire et de t'y tenir... tu crois pas qu'il va falloir t'y mettre?
On passe un peu pour des guignols sur ce coup là!
Mais bon! J'y ai mis un peu du mien et tout
s'est bien passé.


Après ce moment de travail partagé, je suis retourné dans ma voiture, pendant que les humains rentraient dans la maison. Là, notre petite patiente a fait un travail de collage et d'écriture. Puis elle a offert à Geneviève le fruit de son travail... pour moi. Ce n'est pas mignon?
Et puis en plus, c'est vrai!


Avant son départ, et pendant que sa maman parlait de choses sérieuses avec Aurélie, elle est venue me faire un câlin dans la voiture. Elle revient bientôt: Chouette! je vais la revoir!




Avant de rentrer, un petit tour au bord du lac, pour profiter des derniers rayons du soleil.
Puis retour au gîte pour une bonne nuit de repos.

Dimanche 22 mars, journée à Thonon les Bains.

Après une mini grasse matinée et une mini balade hygiénique, nous sommes partis direction Thonon les Bains.
Là-bas habitent Boris, le neveu de Régis et Sophie, sa compagne. A 2 heures de route de nous, cela aurait été dommage de ne pas aller les voir.
Nous sommes arrivés là-bas vers 11h et j'ai été accueilli par Pandora, leur chienne, un peu grincheuse.
Mais n'étant pas chez moi, j'ai fait profil bas et tout s'est bien passé entre gens bien élevés.
Les humains ont discuté un long moment. Pendant ce temps, j'ai visité l'appartement. Le chat, je ne l'ai pas vu. Par contre, je suis tombé sur sa litière... Heureusement que Sophie m'a vu,sinon je me serais rendu malade. Geneviève aurait encore été ravie!

Bref!

Un repas pour les humains, puis Geneviève a proposé qu'on aille se dégourdir les pattes.
Pandora n'est pas venue avec nous. Il parait qu'avec l'âge, elle ne sait plus se tenir, et qu'elle est insupportable, en laisse.

Tu ne me feras pas ça, hein Geneviève? Même quand je serai devenu un vieux grincheux?

Direction le lac. Nous avons garé la voiture à proximité et en avant!

En laisse! bien sûr! Nous sommes en ville et dans un lieu respectable!

A notre arrivée, il n'y avait pas trop de monde. Nous avons marché le long des quais.


A un moment, il y avait un dénivelé jusqu'à l'eau. Boris a proposé que j'aille me rafraîchir un peu. Mais dès que j'ai mis les pattes dans l'eau, un cygne patibulaire, qui pataugeait à quelques dizaines de mètres delà s'est cru obligé de venir défendre son territoire.




Je lui ai bien aboyé toutes les insultes que je connais, mais lorsqu'il a semblé vraiment décidé à en découdre, j'ai préféré battre en retraite.
Décidément! Et on se demande pourquoi j'aime pas toutes ces bestioles!
Comme si j'allais lui piquer sa pataugeoire!





Un peu plus loin nous avons trouvé un autre accès à l'eau...
Pas de vilaine bête en vue?
Boris a demandé si je sais nager....







Envoie un bâton pour voir?






Voilà! Maintenant tu sais!
















Et même que j'aime bien!




































Bon! Après, je me secoue dans tous les sens et j'éclabousse tout le monde.


Tant pis! ils n'avaient qu'à pas passer là!










3 plongeons plus loin, nous voici repartis le long des quais. Le bain m'ayant bien revigoré, je me suis senti d'humeur joyeuse.








J'ai commencé à faire le fou avec Geneviève (toujours en laisse, bien sûr!)





Des 2, je ne sais pas lequel avait l'air le plus cinglé! Mais les gens nous regardaient d'un drôle d'air et Boris et Sophie ont bien rigolé!

A un moment donné, Geneviève a tendu son appareil photo à Boris pour qu'il nous mitraille un peu.

Ni une, ni deux, j'ai bondi, arraché l'appareil photo de la main de Geneviève et je l'ai fait tomber par terre.

Bizarrement, ça n'a pas fait rigoler Geneviève. Décidément, mon humaine n'a pas d'humour!


Il ne faut quand même pas qu'elle se plaigne: il n'est pas tombé dans l'eau et il n'est pas cassé. Juste un gnon près de la prise de connexion.

"Le pire n'est jamais certain", comme elle aime à le dire!

Nous avons poursuivi la balade, le temps de me sécher un peu. Nous avons continué à faire les fous.
Nous avons vu un couple de hérons, à quelques mètres du bord.


























Puis nous sommes retournés chez Boris et Sophie.
Encore un petit moment, puis nous avons repris la route de Paladru.
2 heures d'autoroute et nous voilà arrivés chez nous.
Nous étions bien contents de rentrer dans notre jolie chambre!


Mais nous avons passé une bonne journée!