samedi 20 octobre 2007

Retour à Paris, le quotidien nous rattrappe!

Lundi soir, nous sommes rentrés à Paris.

Finies les vacances!
Une soirée pour tout ranger. Puis Geneviève a allumé son ordinateur: elle s'est faite ensevelir sous les mails. Une grosse semaine d'absence et voilà.
Alors toute la semaine a passé à courir après le temps.

Chaque soir, des réunions auxquelles j'accompagnais Geneviève. Et puis pas beaucoup de sorties détentes. Un petite sortie vélo et sinon des sorties travail.


Et puis dans le journal de l'école de Coubert, il va y avoir un article sur le hovawart.

Et comme je suis un exemplaire unique à Coubert, c'est ma photo qu'ils veulent.
Il a fallu s'y reprendre à 3 reprises pour faire des photos de moi pour l'école:



Mais il faut poser, faire attention à la lumière, à ce qui est autour, la pose doit être parfaite...








C'est pas rien d'être une star! Mais on y est arrivé!
Si! Si! C'est nous qu'on l'a faite!
Elle est belle hein?
On dirait une photo de professionnel!







Heureusement, Geneviève a repris le boulot, hier soir, vendredi. Du coup, ça nous a permis de reprendre un rythme normal. Elle est un peu fatiguée et a besoin de lâcher son travail de secrétariat.

Alors aujourd'hui, on est allé au bois de Vincennes en début d'après-midi, avec Sylvain, faire du vélo. Il y a plein de chiens dehors avec ce beau temps. C'était cool!

Grande promenade, grand soleil, grand plaisir!

Après la fête, retour au calme.




Après la fête de la châtaigne, on est rentré chez Danielle. On s'est posé un moment dans le jardin. Les humains ont bu un verre en discutant tranquillement.


Nous les chiens, pendant ce temps, on jouait autour et puis on a

profité de la douceur de la fin d'après-midi.









Le week-end était déjà fini. Retour prévu à la maison lundi.

Une semaine que nous avons laissé les ados à la maison : il est grand temps de prendre le chemin du retour.

vendredi 19 octobre 2007

La fête de la chataigne à Chastellux

Dimanche, nous sommes allés à la fête de la châtaigne (Eh oui ! on n’en sort pas !), à Chastellux.

Il y avait des artisans qui exposaient et vendaientleurs produits: châtaigne, miel, liqueurs et confitures, fromages, pressage de pommes, truite en conserve, oeuvres d'art etc.


Nous y sommes allés avec Danielle, Laurence,sa fille et Christiane, sa maman.

J’étais de la partie ainsi que Baie, la chienne berger blanc américain de Danielle.


Il y avait une ambiance très chouette.

J'avais mis mon dossard, et j'ai fait plein de touches! Tout le monde me trouvait trop beau, trop mignon, trop gentil. Même que Danielle a fini par être un peu jalouse. Parce que d'habitude, lorsqu'elle sort avec Baie, qui est une très jolie fille, ce sont elles les stars! Là, il leur a fallu partager!

On a passé une journée dans ce village et on a mangé un repas à la châtaigne…

On s’est régalé… même moi parce que pour une fois, j’ai eu le droit de manger des restes sur place :quelques restes de rôti de porc et

de la crêpe. c’était fameux !

Oui je sais c'est interdit, mais raison de plus pour apprécier quand c'est rare!

Et puis c'est pas parce qu'on l'a fait une fois, que je vais m'imaginer que c'est toujours autorisé. Du reste, je n'ai rien réclamé: tout est arrivé tout seul... Alors!

Danielle m'a donné à boire dans une assiette en plastique. C'était marrant: j'ai bu puis j'ai déchiré l'assiette.

Alors elle m'en a donné une autre... et j'ai recommencé!



L’après-midi il y avait une chorale.


Geneviève a bien aimé. !


Moi, j’ai bien dormi!






A Avallon



Journée de vendredi et de samedi : bricolage pour Régis, quelques courses à Avallon avec Laurence.




Moi je ne les ai pas accompagnés, parce qu’ils sont partis avec la voiture de Laurence.





Et puis les grands magasins, j'ai un peu les mêmes à Paris ! on est en vacances, quand même!



Je suis resté avec Bloom, Baie d’Amour, Alizée et Kalinka les chiennes de la maison.





Il y avait aussi Eric, le chat: Drôle de prénom pour un chat. En fait c'est le prénom du vétérinaire qui en a fait cadeau à Danielle. En attendant au début il avait peur de moi, mais après il essayait de faire sa loi!


En tout cas, on a bien joué!


Dans la matinée, je suis aussi allé voir les chevaux avec Geneviève. Elle m'a attaché un peu à l'écart pendant qu'elle allait les voir de plus près. Non merci, pour les chevaux, si c'est sans moi, ça ne me dérange pas!


Mais je suis resté très sage. Je n'ai même pas aboyé, je me suis couché et j'ai attendu qu'elle en finisse avec ces bestioles là!

En route pour Avallon!

Jeudi matin, après le ménage d’usage, on a repris la route. Arrêt dans les magasins de porcelaine de Limoges. Moi j’ai attendu dans la voiture. Geneviève a dit : « Pas d’éléphant dans les magasins de porcelaine ! »


Après un pique-nique sur une aire d’autoroute, nous avons roulé jusqu’à Avallon.



Une dernière pause à La Charité sur Loire.

Détente, jeux, boisson…





On est arrivé à Avallon dans la soirée.






Suite de nos vacances dans le Périgord



Nous sommes encore resté un jour ou deux dans le Périgord.

Les journées se sont partagées entre promenades dans les bois à la recherche de châtaignes et de
quelques champignons – juste de quoi faire une omelette aux cèpes et du saumon aux trompettes de la mort. Mais pas assez pour ramener à la maison !

Jeux de ballon, ramassage de noix, repos, cuisine (mes humains ont préparé de la crème de marrons à rapporter à Paris.)

Quelques activités de
secrétariat pour Geneviève qui a eu beaucoup de mal à lâcher la l'association des parents d'élèves pendant les vacances...

Ben oui, difficile d'oublier les dossiers en cours pendant une semaine... Heureusement, dans la région parisienne, d'au
tres parents veillaient au grain en attendant notre retour.


"Léon" le hérisson



La soirée s’est finie tard et nous avons repris le chemin du retour vers 1h30. Sur notre route, nous avons croisé un petit hérisson. Régis s’est arrêté et nous l’avons emmené avec nous. Les routes ne sont pas très sûres pour ces petites bêtes là !

Geneviève l’aurait bien ramené avec nous à Paris pour mettre dans le jardin, et manger les limaces. Mais ça ne nous a pas semblé être une bonne idée : la vie parisienne n’est pas pour les hérissons, et les vacances n’étaient pas finies !

Alors on l’a relâché dans un grand pré, loin des voitures… Avec un peu de chance, il survivra plus longtemps qu’au bord de la route !

mercredi 17 octobre 2007

visite dans ma maison natale.

Nous étions proches de chez mon éleveuse, à une heure de là. Alors nous sommes allés lui rendre une petite visite, à Beaussac. La fièvre était tombée à 38°6, j'étais bien. Nous avons déjeuné avec Katerine. Puis nous sommes allés voir son vétérinaire à Notron. A l’auscultation, pas de souci, le test de pyroplasmose négatif, un bilan sanguin pour se tranquilliser :

Rien à signaler: Bon pour le service!

Dans la journée, Régis et Katerine se sont installés devant l’ordinateur, pour faire du nettoyage, installer des programmes, etc.

Ça a duré très longtemps et moi, je me suis un peu ennuyé.

Avec Geneviève on est allé jouer un peu dehors,




dire bonjour à ma famille,

faire une petite balade dans le

quartier.

Puis on est rentré faire une petite sieste, lire un peu...

A un moment, les chiens de Katerine

aboyaient fort et s’énervaient derrière la porte.

Moi, je n’étais pas

très fier dans la salle

à manger. Alors je me suis fait tout petit dans

le coin de la fenêtre : Je ne veux déranger personne ! Je ne fais que passer.

Alors Geneviève m’a installé dans la voiture pour que j’y sois tranquille.

Un moment plus tard, elle est passée chercher quelque chose dans la voiture, et moi j’ai commencé à vomir ! Alors elle m’a ramené avec elle dans la maison. Et tout a été bien.

Par contre, dans la soirée, mes puces devenaient de plus en plus voraces. Elles me sautaient sur

la tête et me rendaient fou! , malgré le Frontline mis le lundi soir! J’en avais partout ! Ca me démangeait dans tous les sens.

Régis et Geneviève ont décidé de passer le lendemain à la pharmacie, me chercher un shampoing anti-parasitaire.

Mais Katerine a eu pitié de moi : dans la soirée, elle m’a donné un
collier anti-puces, que Geneviève m’a immédiatement mis.

Katerine ne voulait pas me mettre en contact avec ses chiens afin que je ne leur refile pas mes puces!

Les activités informatiques se prolongeant, nous avons dîné là et sommes repartis à ... 1h30!

Longue journée sympa chez mon éleveuse. Elle nous a dit qu'elle espère bien garder encore longtemps des contacts avec moi, même lorsque j'aurai changé de maître!

Un pic de fièvre

Lundi soir, mes humains étaient tranquillement installés à éplucher des châtaignes lorsqu'ils se sont aperçus que je respirais très fort.
Après une journée de promenades, tout de même assez calme dans les bois, Geneviève se demandait si c'était dû à ce changement de rythme, à un coup de froid attrapé lors de ma douche avant le départ de la maison, ou bien autre chose. A part une température à 39°6, je n'avais aucun signe inquiétant.
A 20h, dans un bled inconnu, c'était pas très simple à gérer.
Alors elle a appelé la clinique véto qui m'a pris en charge lors de mon accident, Katerine, mon éleveuse pour un avis, et Axelle mon éducatrice pour décider de la conduite à tenir.
Il a été décidé de me donner une dose de Mobic pour faire baisser un peu la fièvre, de chercher les coordonnées d'un véto joignable dans la nuit en cas de gros souci, de me surveiller dans la nuit (réveil à 2h30!) et de passer voir le véto de Katerine le lendemain, lors de la visite que nous avions prévue chez elle.
Qui a dit que les vacances sont de tout repos avec un chien?
Le matin, j'étais frais et dispo.
Par contre, j'ai subi une attaque massive de puces!

Autres promenades: Rencontre avec un sanglier fantôme.


Durant nos promenades, nous avons rencontré un squelette de sanglier dans les bois. Il était allongé par terre.

Peut-être un animal blessé par des chasseurs et qui est venu mourir là.



Je ne l'ai pas vu tout de suite, mais quand j'ai trouvé ces ossements, je suis entré en transe, aboyant dessus comme un acharné.
A croire qu'il était encore vivant!

Décidément, il y a des bestioles que je n'apprécie pas, ni vivantes, ni mortes!

1er matin, 1ère balade

Le premier matin, Dominique, un ami de mes humains est passé nous voir. Il nous a entraînés dans la forêt à la chasse aux champignons. Nous n'avons pas trouvé grand chose, mais nous avons bien profité de cette promenade à la fraîche. Geneviève m'avait fait un petit chausson pour protéger mon coussinet, mais je m'en suis très vite débarrassé!
"Puisque je vous dis que je ne suis plus malade!"

1ère étape : Poitiers

Première étape : Poitiers. Chez Maryvonne


Partis en fin de matinée de paris, nos sommes arrivés, sans histoire à Poitiers en début d'après-midi.

Amitié, dépannage informatique (Régis se débrouille bien), discussions, repas.

Pour moi, un copain : Pollux, un border collie, super gentil mais un peu fugueur!

Jeux dans le jardin, petite balade dans le quartier.

Il était tard quand nous avons repris la route.

Nous sommes arrivés dans le Périgord au milieu de la nuit.

Le départ chauffe!

Samedi matin, Geneviève m’a emmené me promener au bois de vincennes. Petite promenade à pied, mais qui m’a fait le plus grand bien !

Par contre, pendant la promenade, j’ai eu la mauvaise idée de me rouler dans un truc pas net. Du coup, Geneviève qui avait prévu de me traiter au Frontline avant de partir, a été obligée de me doucher et du coup, d’attendre 48h pour mon traitement.

Régis, Geneviève et moi sommes donc partis en vacances pour une semaine.

Nous devions partir lundi, au retour du travail de Geneviève. Mais ses 2 nuits ont été annulées. Du coup, on est parti dès dimanche matin.